Mois : avril 2011

Manifestation du 1er Mai

Voici les infos pratiques concernant la manif du Dimanche 1er Mai (*)…
… A laquelle la CFDT du Cirad auprès du SGA 34 sera – comme toujours – largement représentée dans le cortège CFDT !!! (**)

MONTPELLIER : 10h00 AU PEYROU (Après la manif : apéritif convivial sur place)

…  Outre le fait qu’il en est de notre devoir de militants d’y participer, on ne peut pas dire que ce soient les motifs qui manquent :
tentatives de remise en cause des 35 heures, conditions de travail dégradées, chômage, précarité, salaires des dirigeants des grandes entreprises indécents, politique et communication gouvernementale qui font le lit du FN, systèmes de santé, de justice, d’éducation sans cesse revus à la baisse, … et tant d’autres motifs …

Allez, à Dimanche !!!

Jean ARTIERES
Secrétaire du SGA 34

(*) Bonne idée de sortie en famille, ça, la manif du 1er MAI …
(**) Pour être sur que le SGA 34 y sera bien représenté, la meilleure solution, c’est encore que tous les militants, tous les adhérents, tous les sympathisants y participent !!!

Migrants tunisiens

La situation appelle une prise en charge solidaire

Le triste épisode de l’interdiction de circulation des trains entre Vintimille et Menton le 17 avril traduit l’absence de politique européenne en matière d’immigration et l’instrumentalisation politique du phénomène, autant par le gouvernement français qu’italien.

Les difficultés rencontrées par la Tunisie dans sa recherche d’un avenir démocratique demandent une prise en compte particulière de cette situation exceptionnelle, une solidarité avec sa population qui contribue à la stabilité régionale.

L’incapacité du Conseil des ministres européens de l’intérieur du 12 avril à s’entendre sur un minimum de solidarité avec les pays en frontière de l’Union pour les aider à prendre en charge les flux d’immigrés, répond à la stigmatisation systématique de l’Union européenne par les ministres italiens de la Ligue du Nord. Mais l’attitude du gouvernement français d’entraver ainsi la libre circulation à l’intérieur de l’espace Schengen, sous le prétexte de menaces à l’ordre public est inacceptable.

La crispation politique sur les migrations aboutit ainsi à la remise en cause, certes ponctuelle, d’un droit fondamental. Mais ceci dénote une dérive grave qu’il convient de stopper. L’Union européenne et les gouvernements de ses Etats membres sont mis devant leurs responsabilités : ils doivent intervenir pour favoriser une prise en charge solidaire des migrants, respectueuse de la dignité humaine.

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