Mois : février 2011

Siège social : les rumeurs doivent cesser

Depuis la cérémonie des vœux, de plus en plus de rumeurs se répandent dans les couloirs du siège social du Cirad du 42 Rue Scheffer à Paris.

Ces bruits de couloir ont redoublé depuis la visite des inspecteurs de la RGPP (Révision générale des politiques publiques).

Les dernières rumeurs concernent la délocalisation du siège social et la vente du bâtiment, mais d’autres rumeurs parlent d’une vague de licenciements qui se préparerait avec la délocalisation du siège à Montpellier.

Les salariés doivent pouvoir travailler en confiance, ces rumeurs doivent cesser.

L’intersyndicale du Cirad demande au Président directeur général de donner des informations claires et précises sur l’avenir du siège social parisien et des agents qui y sont en poste quelle que soit leur fonction.

Il doit confirmer ou démentir une bonne fois pour toutes ces bruits qui sont colportés à tous les niveaux de la hiérarchie au Cirad.

Si le rapport des inspecteurs de la RGPP vient confirmer ces rumeurs de délocalisation du siège social, la direction doit affirmer qu’il n’y aura pas de licenciements et que tout sera mis en œuvre pour que les agents puissent continuer à travailler dans de bonnes conditions, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

Soyez sûrs que nous serons vigilants

L’intersyndicale du Cirad

Changements de catégorie

Au regard de la publication des données relatives au changement de catégorie, la CFDT du Cirad s’interroge sur les conséquences financières dues au grand nombre de personnes passant dans les catégories 8 et 9 alors que la valeur du point est très peu augmentée d’année en année pour l’ensemble du personnel.

La CFDT souhaiterait obtenir plus d’informations sur le montant des enveloppes allouées pour chaque catégorie, notamment pour la catégorie 9.

Concernant cette dernière catégorie, la CFDT constate que les changements de catégories semblent aujourd’hui utilisés pour augmenter la rémunération des agents qui prennent des fonctions ou des responsabilités supplémentaires, qui sont par définition temporaires. Lorsque ces agents quittent ces fonctions de responsabilités, ils conservent cet avantage par rapport à une évolution normale dans la grille, ce qui n’est pas équitable !

La CFDT demande donc des éclaircissements sur la fixation des montants des primes de fonction et de responsabilité.

Bien qu’ayant obtenu la participation de représentants du personnel dans les commissions, la CFDT revendique toujours  que les commissions de changement de catégories soient paritaires.  De plus, la CFDT considère qu’une commission devrait être mise en place pour les passages en catégorie 9.